Si vous êtes un bricoleur dans l’âme et que vous envisagez de moderniser votre éclairage, il faut savoir qu’il existe une solution bien pensée. En effet, les plafonniers LED encastrables sont une bonne solution concernant la manière d’illuminer l’intérieur de votre logement. Il en est terminé des installations encombrantes sur pied ou encore des suspensions venant manger l’espace, il s’agit d’une solution apportant un éclairage à la fois discret, performant et économique.
Suivez nos conseils et vous aurez la garantie que votre projet sera une réussite.
Bien choisir son équipement avant de se lancer
Tout bon chantier démarre effectivement par la sélection du bon matériel. Avant d’acheter un plafonnier LED encastrable, vous devez étudier un certain nombre de critères. Parlons tout d’abord de la forme. Il existe des modèles carrés ou ronds, et pour tout dire, il est simplement question de préférence concernant ce point. Ensuite vous devez considérer les dimensions en prenant garde qu’elles s’adaptent à la configuration de la pièce concernée.
Il faut savoir que 2 grandes familles existent sur le marché de l’éclairage. Prenons l’exemple des plafonniers fixes. Ces derniers doivent pouvoir s’encastrer directement dans le plafond pour diffuser une lumière homogène dans toute la pièce. Quant aux modèles orientables, il faut savoir qu’ils ont pour rôle de diriger le faisceau lumineux vers des zones précises. Qu’il s’agisse d’une cuisine, d’un salon, d’une chambre ou encore d’un bureau, toutes les pièces ne doivent pas être éclairées de la même manière.
Pour les plus grandes surfaces professionnelles telles que des bureaux ou des commerces, la solution la plus pertinente est celle des dalles LED. Une seule source suffit pour que l’éclairage soit complet. Pour ne rien gâcher, le fait de les installer en mosaïque ou en ligne peut apporter une touche graphique et contemporaine à votre local.

Faire votre choix en fonction de la température de couleur
Tout d’abord, retenez que l’intensité lumineuse se mesure en degrés Kelvin. Il s’agit d’une valeur qui vous indique la nuance dominante de votre éclairage. 3 grandes catégories se distinguent sur le marché à l’heure actuelle.
Le blanc froid
Le blanc froid affiche une température comprise entre 5 200 et 6 500°K. Il s’agit d’une lumière vive légèrement bleutée au-delà de 6 000°K. Cette température de couleur convient aux espaces techniques et aux zones nécessitant une grande précision visuelle comme cela peut être le cas avec un laboratoire photographique.
Le blanc neutre
Ici, la température de couleur est comprise entre 3 200 et 5 200°K. Cette température est censée reproduire à la perfection la lumière naturelle du jour. Les résultats attendus sont une réduction de la fatigue visuelle ainsi qu’un meilleur confort cognitif lorsque vous travaillez durant de longues heures en étant concentré. Concrètement, c’est la solution la plus choisie pour les locaux professionnels.
Le blanc chaud
Le blanc chaud varie de 2500 à 3200 °K. Il s’agit à la fois d’une lumière douce et chaleureuse capable de créer une atmosphère cosy.
L’idéal pour :
- les salons ;
- les chambres ;
- les pièces dédiées à la détente.
Il s’agit d’une option prisée pour les espaces invitant à la relaxation.
Enfin, il existe d’autres modèles permettant de régler l’intensité et la température de couleur grâce à un variateur intégré. L’idéal pour adapter l’éclairage à n’importe quel moment de la journée en fonction d’une activité précise.
Les étapes d’installation
Dans certains cas, il peut être nécessaire d’utiliser un détecteur de métaux dans le but de localiser les fourrures du plafond. Il est question ici d’éviter les surprises désagréables lorsque vous percez. Pour que les emplacements de marquage soient précis, nous vous suggérons d’utiliser une perceuse ou encore une scie cloche correspondant parfaitement au diamètre des spots. Ce point est important, car il permet une découpe plus simple. Pour le placo, il existe des outils bien spécifiques.
Concernant la sécurité, avant toute manipulation électrique, vous devez vous assurer que le disjoncteur général est coupé. Il n’y a absolument aucune exception à cette règle. Vous devez aussi faire en sorte qu’un écart de sécurité existe entre le luminaire et l’isolant du plafond. Cela vous évite tout problème de surchauffe.
La pose du plafonnier
Il existe plusieurs étapes de préparation pour tout d’abord, la boîte de raccordement et la douille doivent être fixées sur le socle du plafonnier afin d’assurer la connexion électrique. Ensuite, il faut relever les pattes de fixation pour être sûr de pouvoir encastrer le luminaire. Avec ce système, vous avez la garantie que le plafonnier est fixé fermement dans le logement. Lorsque tout cela est en place, les pattes se déploient derrière le plafond afin de bloquer l’ensemble.
Pour les dalles LED, il existe 2 méthodes d’installation différentes. C’est notamment le cas avec le montage en saillie qui convient lorsque l’encastrement est impossible. Dans ce contexte, les dalles sont intégrées dans un cadre fixé directement au plafond. Concernant le montage en intégration, il s’agit d’une technique consistant à encastrer les panneaux dans un cadre. Le rendu est plus discret sans aucun relief apparent.
Les avantages de cette solution d’éclairage
Tout d’abord, des plafonniers LED encastrables vous font gagner de la place, tandis que le montage et les installations disparaissent dans le plafond. L’espace au sol reste donc totalement disponible tandis que la hauteur sous plafond reste préservée.
Voici les autres avantages principaux :
- une pose simple à la portée de tous ;
- une adaptabilité à toutes les configurations architecturales ;
- une diffusion de la lumière homogène ;
- une durée de vie atteignant 30 000 heures par ampoule LED.
Enfin, la consommation électrique se trouve considérablement réduite par rapport à des halogènes, ce qui ne gâche rien…

